Un arrivé brutal

Ivy qui avait jusqu'à ce jour connu une vie paisible au pensoinnat, elle était renversée par le nombre de personnes qui, comme elle, étaient entassé comme des fourmies dans l'entrepot. Parfois certains criaient, d'autres marchait très vite sans trop savoir où aller, bousculant les gens sur leur chemin. Ivy était terrifié par ce brouaha. Elle essaya de se frayer un chemin au travers des gens, les poussant délicatement et légèrement du revers de la main, pour la laisser passer.

Après quelques minutes passées passant à quatres pattes sous les gens et en les poussant légèrement, elle arriva à un mur. Enfin, elle se laissa glisser contre celui-ci et tomba assise. Elle remarqua qu'elle n'était pas toute seule, car plusieurs personnes étaient aussi assises contre le mur. Une vielle femme dans la soixantaine parlait toute seule, s'apitoyant sur son sort. Cela mit dans les yeux d'ivy une lueur de tristesse. Elle aurait voulu la prendre dans ses bras pour la consoler, mais elle ne le fit pas, par gêne.

Quelques heures plus tard, quelques personnes s'étaient assoupie contre le mur froid et blanc. Soudain un grand bruit sourd sorti Ivy de ses pensées. Puis, un autre bruit.
Celui-ci plus prolongé, et moin puissant. Il y eu comme un gricement comme si l'on ouvrait les portes d'une grange, et une lumière blanche aveugla tous les gens qui étaient là. Un grand silence planait dans la salle, et tous les gens étaient tournés vers la porte. Quand soudain, une vois grave et forte cria :

- LES PORTES SONT OUVERTES !!!!!!!!

Ivy se leva avec l'appui du mur, et se dressa sur toute sa grandeur. Elle ne voyait rien car la plupat des gens étaient plus grand qu'elle.Soudain, tous les gens se mirent à couriir, et cela fit un bruit immense, reésonnant dans toute la pièce. Ivy emporté par le mouvement des gens se laissa trainer. Plus elle courait, plus la lumière blanche devenait intense. Soudain elle vit la porte ouverte. Cela faisait un grand rectangle blanc lumineux du plancher au plafond. Elle continua à courrir ainsi, jusqu'à ce que la porte soit franchie.

Dehors, le soleil réchaufa ses membres. Elle sourit, elle se sentait libre. Tout le monde était éparpillé un peu partout dehors, regardant autour d'eux. Ivy eu un choc au coeur, et des palpitations commencèrent. Ils étaient entouré d'une grande forêt, et aucune issue pour partir. Ils étaient pris au piège. Ivy paniquait. Elle se mit à courrir les larmes aux yeux vers la forêt, ne comprenant pas ce qui se passait. Elle avait en tête l'idée de longer la forêt. Elle allait ainsi trouver une idée pour s'échapper de cet endroit si étrange et mystérieu.