Au commencement...

Il faisait bien froid la nuit dans les rues de Londres, bien sombre aussi. Maddie se dit alors qu'elle devrait peut-être fermer la galerie plus tôt, car elle rentrait souvent assez tard chaque soir et sa petite Béatrice râlait tout le temps parce que sa Maman n'avait que rarement le temps de jouer avec elle. Tout en fermant à clefs la petit boutique qu'elle entretenait, la jeune femme jeta un rapide coup d'œil à sa montre, 21h déjà. Là c'était sûr Béatrice allait lui faire la tête ! Mais bon, il y avait eu beaucoup de monde aujourd'hui et elle avait réussi à vendre deux peintures à un bon prix ! Tout en frottant ses mains enfouies dans deux gants de cachemire noir pour les réchauffer, elle se dirigea alors vers sa demeure qui heureusement se trouvait à dix minutes de marche d'ici. L'anglaise marchait à grands pas, ce n'était pas qu'elle avait peur, c'était juste qu'elle était pressée de retrouver sa petite fille et d'être bien au chaud chez soi, car malgré son long manteau en fourrure synthétique, elle avait un peu froid, voir même beaucoup. Elle se mit alors à penser à ce qu'elle ferait à manger ce soir et se demanda si Béatrice avait été sage avec sa nounou.
Plongée dans ses pensées, elle n'entendit ni les bruits de la camionnette qui s'arrêtait, ni les pas des deux hommes qui fonçaient sur elle par derrière. Elle sentit juste quelque chose de dur tomber sur sa pauvre tête, tout devint flou et elle perdit rapidement connaissance.

Quand elle rouvrit à nouveau les yeux, Maddie crut tout d'abord rêver. Elle s'assit à grandes peines sur le sol froid du bâtiment, abasourdie, se frotta les yeux et dévisagea d'un air béat les lieux. Autour d'elle se trouvait une multitude d'autres personnes qui avaient tous l'air aussi étonnés qu'elle. L'anglaise avait si mal au crâne qu'elle avait l'impression que quelqu'un s'amusait à jouer des cymbales dans sa tête.

- Bon sang, Madeline, réveille-toi !

Balbutia-t-elle d'une petite voix, en se frottant la tête... Curieux dis donc, elle avait beau chercher elle ne se souvenait plus de sa soirée d'hier, mais absolument plus. Oh ça n'annonçait rien de bon... Elle eut alors l'idée de se pincer comme dans les dessins animés ou les films pour voir si elle était vraiment en plein délire ou non.

- Aïe ! Hum... On est pas censés avoir mal quand on dort, je suis donc bien dans un espèce de hangar tout moche avec pleins de gens.

Jetant de petits coups d'oeil inquiets aux gens qui l'entouraient, elle haussa alors la voix et demanda sur un ton hésitant :

- Quelqu'un saurait-il par le plus beau des hasards où nous sommes ?

Pas de réponses, ce qui signifiait sûrement "non". Ah, au moins elle n'était pas toute seule à être dans le pétrin. Malgré son mal de tête, une multitude d'hypothèses délirantes naquirent dans l'esprit de la jeune femme. Tiens ? Peut-être que c'était un kidnapping, un gros kidnapping, les organisateurs de tout ça pouvaient demander une belle rançon. Tiens, à propos, où étaient les ravisseurs ?

Des bruits de pas, des coups résonnant, des paroles tant de chose désagréable qui me réveilla…Je détestais être réveillé en pleine sieste alors j’ouvris les yeux une première fois mais tout était flou, je pouvais distinguer quelques silhouette courir dans tous les sens mais rien de bien précis, rien qui pourrais m’indiquer ma position actuelle alors je fermai les yeux à nouveau, força quelques secondes et les ré ouvris et maintenant tout était clair…Je voyais une foule de personne, certaines devenaient hystériques d’autres folles en tapant sur des murs résonnant ou d’autres parlaient mais avec un ton affolé tout de même…Alors je me souvenu de ce qui c’était passé, cette soirée ou j’étais soul deux personnes en avaient profités pour m’assommer et à priori il m’avaient envoyé ici, quelle lâche de prendre par derrière en même temps je ne pouvais parler de lâcheté alors que je venais de tué un homme par derrière alors je me redressa et essaya d’analyser la situation…Nous semblions tous compressés dans un espace réduit, c’était le noir complet on y voyait rien mis à part les quelques personnes qui avait des espèce de bâton fluo provoquant un peu de lumière permettant de se situé dans cette espace restreint et alors en me remémorant cette soirée je regarda sous mes bras ou se trouvait mon holster mais rien, je n’avais plus de gun et derrière mon dos plus de fusil il ne me restais plus qu’une chose : Une dague que je n’avais jamais vu auparavant mais tout de même un sourire apparut sur mes lèvres, j’avais la sensation qu’une aventure plus qu’intéressante se profilé quand soudain une femme parla à vois haute et dit d’un ton curieux et affolé également :

Quelqu'un saurait-il par le plus beau des hasards où nous sommes ?

A l’entente de ces mots mon regard chercha de quelle voix pouvait bien provenir ces paroles totalement idiote, c’était logique que personne ne sache ce qui se passe après tous nous étions tous enfermé dans ce lieux sombre et entassé alors comment quelqu’un pouvait il être au courant de quelque chose, mais mon regard trouvant qui était la personne qui avait prononcé ces paroles incohérente…C’était une jeune femme vêtu d’un manteau de fourrure ainsi que de botte ayant l’air de valoir pas mal d’argent alors toujours assis adossé au mur je dis en souriant en direction de la femme…

Hé princesse calme toi un peu on est tous dans le même bateau alors inutile de poser ce genre de question...

Après ces quelques paroles que je venais de prononcer je me levai tapota mes affaires pour enlever la poussière qu’il y avait et je m’approchai de la femme d’un pas lent et assuré…Etrangement j’arrivais à garder mon calme mais qu’en était il d’elle…

Beuh non, ce n'était sûrement pas un grand kidnapping, sinon ils ne seraient pas tous seuls dans cet entrepôt froid et sombre... et ils ne seraient sûrement pas armés. Un frisson avait parcouru la jeune femme lorsqu'elle avait aperçu que la plupart des personnes possédaient apparemment une arme, ça allait de la casserole (si on peut appeler ça une arme) au fusil. Bon sang ! Mais on avait pas idée d'entasser une centaine de personnes, voir plus, dans un hangar tout pourri en leur donnant des armes, quelqu'un finirait par être blessé ! Son regard se posa alors sur le sac à dos qui gisait près d'elle. Tiens ? Qu'y avait-il à l'intérieur ? Ce serait chouette s'il contenait quelque chose de comestible, car il fallait avouer que l'Anglaise avait un peu faim ! Elle se saisit alors délicatement de l'objet et s'apprêtait à l'ouvrir, curieuse, quand une voix masculine la fit sursauter.

- Hé princesse calme toi un peu on est tous dans le même bateau alors inutile de poser ce genre de question...

Princesse... Ce surnom lui rappelait bien des choses et pas que des choses agréables, la seule personne qui l'avait jamais appelé ainsi était le coureur de jupons qui lui avait brisé le cœur. Fort heureusement, ce n'était pas lui qui avait parlé. Il s'agissait en fait d'un jeune homme qui devait probablement atteindre la vingtaine. Musclé, assez grand, il possédait des cheveux touts blancs, drôle de couleur. L'inconnu n'avait pas l'air bien méchant.
"Calme-toi un peu", bonne idée, oui il ne fallait surtout pas qu'elle panique, ça ne servirait à rien de s'énerver, au contraire mieux valait garder des forces pour la suite. Passant une main dans ses longs cheveux blonds, Maddie inspira et expira un grand coup puis sourit à son tour.

- Oui vous avez raison, c'était stupide comme question.

Toutefois, elle était contente que quelqu'un eut pris la peine de lui répondre, même si cela ne l'aidait pas du tout. Bon pas la peine de rester par terre, ça ne servait à rien. Elle se leva alors et épousseta à son tour sa longue robe et son manteau puis soupira en pensant à Béatrice, sa fille devait se faire un sang d'encre, il fallait absolument qu'elle trouve un moyen de quitter les lieux.
Voyant que l'homme aux cheveux blancs s'était approché d'elle, la jeune femme décida de se présenter, question de politesse, tout en gardant son joli sourire.

- Je me nomme Madeline Russel.

Plus je m’approchais d’elle plus je pouvais voir ce qu’elle faisait, a priori elle allait ouvrir un sac et bizarrement j’avais remarqué que tous le monde en avait un prêt de soi, moi aussi j’avais du en avoir un également mais j’avais pas pris la peine de regarder autour de moi et puis son contenu je m’en fichais légèrement…Quand la femme me vu se rapprocher elle se releva et semblait petit à petit reprendre son calme pas comme tous ces crétins qui tenté désespérément de sortir…Après avoir passé sa main dans ses cheveux un sourire vint s’afficher sur son visage, il semblerait qu’elle était passé d’un état de panique et à celui de joie ou plutôt de calme et elle acquiesça mes dire par des simples mots :

Oui vous avez raison, c'était stupide comme question.

Après ces quelques mots la jeune femme eut l’air pensive pendant quelques secondes alors que moi une chose m’avez choqué dans sa phrase, le « vous »…A l’heure actuelle il était inutile de faire des courbettes ou quoi que ce soit d’autre de plus on m’avais toujours tutoyé mais en même vu le travaille que j’exerce il n’étais pas facile de voir quelqu’un faire autant de courbette, puis la femme toujours le sourire au lèvres se présenta, elle s’appelé donc Madeline alors pour ne pas paraître impolis je me présentât également :

Moi c’est Dante, bon maintenant que les présentations sont faites il vaudrait mieux trouver un moyen de sortir d’ici…

Des le début je ne devais pas me faire d’ennemis et être amicale ainsi qu’aidant était le meilleur moyen de ce faire des amis ou plutôt des gens qui par la suite pourrait être utile et le plus important c’est que personne ne devait savoir ce que j’étais dans ma vie antérieure car à présent ce qui allait arriver à chacune des personnes ici présente allait être différent de tous ce qu’on avez pu voir ou vécu…Après les paroles je me mis en marche évitant les autres personnes affolé mais e voyais que la jeune femme restait immobile le regard fixé sur son sac alors je m’arrêta et lui dit :

Vas y ouvre le, ton sac il devrait y avoir une arme dedans te permettant de te défendre moi aussi j’en ai une...

Avant de repartir j’attendu de voir qu’elle arme allait elle avoir et surtout serait elle s’en servir, car pour le moment je ne voulais pas dévoiler la mienne seulement après je lui montrerais après tout les dames d’abord…

Il disait s'appeler Dante, bizarre comme nom, m'enfin bon... Elle s'apprêtait à déclarer "Enchanté de faire votre connaissance, monsieur Dante !" mais s'abstint au dernier moment, oui le moment n'était pas aux présentations et aux formules de politesses, il fallait quand même se souvenir qu'ils étaient dans un lieu inconnu entourés d'inconnus armés et non dans un salon de thé ! Maddie se mordit alors légèrement la lèvre inférieure, ravalant sa phrase qu'elle jugeait stupide lorsque le dénommé Dante lui suggéra d'ouvrir son sac où elle trouverait une arme qui lui servirait à se défendre. En entendant ses paroles, elle sentit son sang se glacer dans ses veines.

- Hein ? Une arme ? Pour me défendre ? Mais contre qui ?

S'exclama-t-elle naïvement. Bin ui quoi ? On était quand même dans une société de civilisés ? Les personnes autour d'elle n'allaient quand même pas s'amuser à se charcuter les unes après les autres ! Non, c'était ridicule ! Pas question qu'elle s'arme à son tour, non mais oh ! C'était une artiste, pas une barbare ! Et malgré elle, une expression de dégoût se dessina sur son visage.

- Woaaaw ! Un vrai fusil ! Troop coooooool !

Cria alors un adolescent boutonneux à l'air louche qui venait de déballer un fusil à pompes de son sac... Hum, hum, moui, en fait elle allait peut-être l'ouvrir son sac. Oh mais juste par curiosité hein... L'Anglaise se saisit alors du bagage et s'étonna alors de son poids. Oulà, ce qu'il y avait dedans devait être très gros. Elle fit glisser alors la fermeture éclair et retourna d'un coup le sac. Une tronçonneuse tomba alors sur le sol dans un bruit sourd. Ramassant l'outil sur le sol, elle frissonna à nouveau en s'imaginant découper quelqu'un avec son tout nouveau joujou. La jeune femme murmura d'une petite voix mi-effrayée, mi-surprise.

- Mais qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire de ça ?

Tout en contemplant l'objet, elle se retourna, s'étant aperçue que la plupart des gens se dirigeaient dans la même direction. Un petit rayon de lumière lui fit plisser les yeux. S'il y avait une sortie, il fallait suivre ces personnes et se diriger vers la lumière, avec un peu de chances, on finirait bien par trouver une issue de secours ou quelque chose du style.

La femme semblait vouloir parler mais rien ne sorti de sa bouche et je ne voulais pas vraiment savoir ce qu’elle avait à dire surtout si c’était encore l’une de ses formules de politesse, je détestais ca…Il était difficile de voir qu’en réalité je venais d’une famille de bourge, certainement d’une famille qui avait vécu dans le même milieu que la sienne seulement moi depuis ce jour j’avais tout oublié de ma précédente vie, j’avais tout oublié de ce que l’on m’avais appris…Alors que pendant l’espace de quelques instants j’étais plongé dans mes pensées la femme recommença à poser l’une de ses questions idiotes il paraissait pourtant évident que nous n’allions pas rester dans ce lieu clos et sombre toute notre vie et que derrière ces murs, à l’extérieur il devait y avoir des choses pas net, des choses représentant un réel danger alors je lui répondis d’un ton excité mais j’essayais malgré moi de garder mon calme :

D’après toi que veux-tu faire avec une arme, TUER !...

J’avais prononcé le dernier mot un peu plus fort sans m’en rendre compte cela devait certainement être du à l’excitation, en effet on parlait d’arme, de défense et de risque et tout cela m’excitais j’avais de plus en plus de mal à rester calme et révéler ma véritable personnalité…La femme quand à elle regarda tout autour d’elle et put remarquer que chacune des personnes ici présente avait une arme et l’un deux avait eut la chance d’avoir une vrai arme à feu : un fusil à ce moment la je l’envié mais j’attendais toujours de voir ce que la femme allait avoir…Quand j’eus cette pensée elle ouvra la fermeture de son sac et retourna ce dernier vers le bas faisant ainsi tomber son contenu et je pu enfin voir qu’elle arme allait elle avoir…C’était une tronçonneuse, en voyant cela j’eus un léger sourire je me voyais déjà entrain de découper des corps, entrain de tuer l’une de mes passions, alors avant de parler je me retourna discrètement et mordit un de mes doigts tout aussi discrètement…Je le mordu jusqu’au sang, mon doigts saigné de plus en plus alors je le cacha derrière mon corps et me retourna vers la femme le visage inexpressifs, à présent je m’étais légèrement calmé…La femme prit de nouveau la parole et posa une question des plus bêtes je commençais à avoir l’habitude alors je lui dit d’un ton ennuyé…

Je n’aime pas me répéter mais je vais le redire une dernière fois, tu va te servir da ca pour tuer, pour te défendre je sens que derrière ces murs ce ne sera pas de tout repos…

Après ces quelques mots je me mis en marche vers les portes de sorties au dimensions titanesque et je lui fit signe de me suivre, il ne fallait pas s’attarder ici…J’évitais agilement toute ces personne qui se bousculaient jusqu'à arriver devant ces portes malheureusement je ne pus y rester devant très longtemps ainsi que la femme à cause d’un mouvement de foule qui s’amusait à foncer sur les portes, ils prenaient touts de l’élan en même temps et frappé les portes avec la forces de leurs corps simultanément alors je dis à la femme…

Mieux vaut s’écarter avec un peu de chance ces imbéciles vont réussir à ouvrir ces portes…

- D’après toi que veux-tu faire avec une arme, TUER !...

L'anglaise avait été surprise de la soudaine brutalité avec laquelle Dante avait prononcé le dernier mot mais avait fait comme si de rien n'était, préférant ne pas l'irriter d'avantage. Elle avait bien vu un petit sourire cruel se dessiner sur ce dernier lorsqu'elle découvrit la tronçonneuse, euh... Réflexions faîtes, ce type n'était pas très très net. Il s'était d'ailleurs retourné, comme pour cacher ce sourire carnassier et finit par lui répondre après avoir repris son air froid :

- Je n’aime pas me répéter mais je vais le redire une dernière fois, tu va te servir de ça pour tuer, pour te défendre je sens que derrière ces murs ce ne sera pas de tout repos…

Mais bon sang, tuer qui ? Et pourquoi ? Elle mourrait d'envie de lui demander mais s'abstint sentant bien que ses questions idiotes agaçaient le jeune homme et qu'il n'en savait probablement pas plus qu'elle. Comme une enfant que l'on gronde, elle baissa les yeux vers son arme pour cacher un peu son trouble et sa honte. Elle se sentait légèrement ridicule, voir stupide. Elle ne se voyait vraiment pas charcuter des personnes avec ça. Une pensée lui traversa l'esprit : Dis donc ! Elle avait bien assassiné sa belle-mère, pourquoi était-elle alors si rebutée par l'idée de tuer à nouveau ? Elle n'était décidément pas très logique ! Brrr, n'empêche que ça lui disait rien du tout de découper des personnes à la tronçonneuse à la manière des psychopathes des films d'horreur. Enfin, la jeune femme se mordilla la lèvre inférieure en décidant de ne plus poser de questions et replaça l'instrument dans le sac à dos qu'elle enfila pour se déplacer avec plus de facilité, même si sa longue robe n'était pas vraiment pratique pour marcher.
Arrivés devant les lourdes portes de l'entrepôt, Maddie observa avec plus ou moins de stupéfaction ces barbares qui s'acharnaient sur les portes et Dante lui conseilla de s'écarter. Mouais, de toute façon elle n'avait pas du tout l'intention de se mêler à eux pour aller à son tour se jeter sur les portes... Elle jeta alors un petit coup d'œil à sa montre... Presque 14 h ! Déjà ? Bin dis donc, elle avait dormi un bon bout de temps ! A sa grande surprise, les lourdes portes s'ouvrirent d'elles-mêmes et les rayons du jour l'aveuglèrent. Elle plissa les yeux et mit une main devant son visage, juste le temps de se réhabituer à la lumière.

- Bon hé bien, au moins on a trouvé la sortie... On y va ?

Et sans attendre de réponses, elle s'enfonça dans la foule qui s'empressait de quitter les lieux en essayant de ne pas se faire bousculer. C'est vrai que tout le monde était un peu pressé de sortir de ce hangar sombre et peu rassurant. D'ailleurs c'était fou le nombre de personnes qui étaient présentes ! Plusieurs centaines sûrement ...

Toutes ces personnes agissaient d’une façon des plus barbares et essayé par leurs propres forces de détruire ces deux portes aux dimensions titanesques, je trouvais ca ridicule mais après peut être y arriveraient ils et alors leur stupidité m’aurons bien avancé…Contres toute attente les deux portes cédèrent sous les tentatives répétés des humains et alors les rayons lumineux et puissant du soleil pénétrèrent ce qui semblait être un entrepôt, c’était ceux dans quoi j’avais passé une bonne parti de mon temps…Chacune des personnes mirent leurs bras devant leurs yeux pour se réhabituer à la lumière et la femme en ma compagnie n’y faisait pas exception et le fit également quand à moi je me contenta de me retourner pour me protéger des rayons…La femme m’adressa enfin la parole j’espérais que ca n’allait pas être une de ses questions idiotes qui commençaient à m’énerver de plus en plus, donc elle prit la parole pour m’inciter à sortir mais n’attendu pas même une réponse de ma pars elle s’enfonça dans la foule suivant le mouvement moi je resta sur le côté immobile à regarder toutes ces personnes ridicule ce bousculant pour sortir car après tout nous avions tout notre temps et au final chacun de nous sera dehors…Pendant ma petite période d’immobilisation je pus constater qu’en réalité nous étions beaucoup de cet entrepôt, depuis le début nous étions autant et je ne m’en étais pas rendu compte : Plus d’une centaine nous étions, plus de cent personne enfermé dans un endroit aussi restreint c’était un coup à devenir claustrophobe…Une fois que tous le monde étaient passé je sortis à mon tour, et je pus voir un paysage assez tropical, une jungle n’inspirant pas confiance dominait ce paysage, d’un côté il y avait une falaise mais déjà je me demandais ce que pouvait bien contenir cette forêt quand d’un seul coup je sentis de l’eau à mes pieds alors je baissa la tête et pu voir l’eau montante donc vite fait je me retira pour me mettre à marcher sur du sable, nous étions donc sur une plage…Une plage O.K mais ca ne m’avançais pas à grand-chose en effet je ne savait toujours pas ou précisément nous étions et à en voir l’horizon nous devions être sur un île déserte, enfin déserte c’était ce que je croyais…Il y avait de l’eau à perte de vue et aucune civilisation ou est ce que j’étais encore tomber…Puis je rechercha du regard si je pouvais retrouver cette femme mais ne la voyant pas j’abandonna les recherche et me mis à marcher le long de la plage repensant à ma vie précédente…

Code:: Désolée petit post mais j'ai pas d'inspiration...

[HJ : Pas de problèmes ^^ ]

Aspirée par la foule, Maddie se retourna pour voir si le jeune homme la suivait bien et constata avec une certaine surprise qu'il n'était plus derrière elle. Normal, avec tous ces gens, elle ne devait pas le voir, mais il n'était surement pas très loin ! Bon d'accord, il était assez rude, pas forcément très poli et semblait étrangement accoutumé aux armes et à la mort vu les propos qu'il avait tenu, mais qu'importe ! C'était sa première rencontre sur l'île et elle s'était déjà un peu attachée à lui. C'est que l'Anglaise est un peu "pot de colle" et même si Dante n'avait pas été ultra-patient avec elle, c'était pour l'instant son seul repère.
Le paysage autour d'elle était celui d'une sorte de jungle tropicale. Oulà, elle avait donc du changer de continent ! A ce qu'elle sache, on ne trouvait pas ce genre de forêt en Angleterre ! Argh ! La voilà dans de beaux draps. Tournant la tête, elle aperçut une petite plage surplombée par de grandes falaises abruptes où la mer semblait agitée. Et de l'autre côté une grande plaine à l'herbe rase. Etrange, étrange... La jeune femme reporta son attention vers l'entrepôt où des personnes se précipitaient encore vers la sortie. Hallucinant le nombre de gens qui sortaient d'ailleurs, comment allait-elle retrouver Dante ? Elle décida alors de s'assoir par terre et d'attendre en priant pour l'apercevoir. En y réfléchissant ça ne devait pas être trop difficile, il avait des cheveux d'une jolie couleur argentée ce qui était peu commun. Etait-il albinos ? Bonne question... De quelle couleur étaient ces yeux ? Rouges ? Euh pas moyen de s'en souvenir... Mais quelle importance cela avait-il ? Décidément, elle avait le don de poser des questions stupides !
Plongée dans ses pensées, elle attendit ainsi environ une bonne dizaine de minutes mais ne vit pas Dante, sans doute était-il parti ou avait-il été caché par la masse de gens. Ah tant pis, vu le nombre de personnes elle se dit qu'il était inutile de le chercher plus longtemps et supposa qu'il avait du penser la même chose et partir de son côté. Oh, cet homme froid n'avait peut-être pas envie de se promener avec une chochotte comme elle qui ne savait même pas se servir d'une tronçonneuse et le bombardait de questions idiotes ! Cette pensée la fit sourire, d'accord ce n'était pas très drôle mais c'était étrange de se sentir aussi agaçante qu'une petite fille, elle ne put s'empêcher de trouver cela marrant. Toutefois, elle fut un peu déçue d'avoir égaré aussi bêtement sa première connaissance mais se finit par se convaincre qu'elle aussi devait s'éloigner de l'entrepôt en espérant trouver des secours ou bien quelqu'un qui puisse la renseigner sur l'endroit où elle se trouvait ou encore de quoi manger parce que mine de rien, elle avait toujours un peu beaucoup faim. Elle tâta son sac pour s'assurer que sa tronçonneuse était toujours là. Qui sait, elle pourrait s'en servir pour couper du bois au cas où elle attraperait quelque chose ? Euh non, fausse bonne idée. D'abord ça m'étonnerait qu'elle attrape quelque chose et ensuite, si elle avait à faire du feu, mieux valait ramasser des petits brindilles que se faire tomber un arbre sur le coin de la figure ! Allez zou ! Un peu de courage, son instinct de petite bourge lui disait qu'elle risquait de marcher un petit moment. Elle se releva reprit son sac, jeta un dernier coup d'oeil autour d'elle pour bien s'assurer qu'il n'y avait plus de Dante dans les parages puis se mit à marcher dans une direction au pif.